jeudi 30 octobre 2014

Jacques Derrida, quelques points d'actualité


Le 10e anniversaire de la disparition de Jacques Derrida est l'occasion de multiples contributions, dont voici quelques-unes :
  • "Derrida, veilleur de la "démocratie à venir", par Nicolas Duteint, L'Humanité, 7 octobre 2014

    "Philosophe inclassable, Jacques Derrida est décédé il y a dix ans. Ce théoricien de la déconstruction lègue à ses contemporains une œuvre multiple et paradoxale qui défiera longtemps les commentateurs"... Lien
  •  "Chronique du temps présent : Jacques Derrida 10 ans après", par Hélène Cixous. L'Yonne républicaine, 5 octobre 2014

    "Le 11 septembre 2001, je lui téléphone : vite, dis-moi, que penses-tu de ce qui nous arrive, là ? J’étais hagarde, lui était à Shangaï, sur le point de se rendre aux États-Unis, la terre occidentale venait de rouler sur le flanc et lui, déjà à l’œuvre,"... Lien
  • Jacob Rogozinski, Cryptes de Derrida, Editions Lignes, 2014.

    "Ni réfutation polémique, ni commentaire mimétique, le présent essai de Jacob Rogozinski se propose de tracer dans l’œuvre de Jacques Derrida une ligne de partage entre ce qui se laisse déconstruire et ce qui reste. De découvrir la part indéconstructible de la déconstruction, les « cryptes » de Derrida : ses points de résistance, les impensés de sa pensée."... Lien
  • "Jacques Derrida", émission de Benoît Peeters et Virginie Linhart,  critique de Juliette Cerf dans Télérama du 4 octobre 2014

    "A l'occasion du dixième anniversaire de la disparition du philosophe Jacques Derrida, retour sur l'itinéraire de cette figure philosophique du XXe siècle. L'idée des réalisateurs Benoît Peeters et Virginie Linhart est de confronter sa vie et sa pensée pour en souligner toutes les coïncidences. Sa femme et ses amis, comme Etienne Balibar et Jean-Luc Nancy, témoignent aussi."... - Avec un extrait de 2 minutes. - Lien
  • Le corps de la déconstruction et les fascismes à venir, par Thierry Briault, Médiapart, 1er octobre 2014
    "Il s’agirait de penser une théorie du "corps plastique" chez Derrida, à la fois comme un corps politique, un corps explosif de la guerre ou du terrorisme, comme une œuvre artistique, et comme image du philosophe, de son geste, de ses auto-portraits ainsi que de la dynamique politique d’un habitus derridien interprété là aussi comme une sorte de corps politique."... Lien